Se réchauffer [Suite Promenade]

J'entrai dans l'auberge suivis d'Effemmir. Je n'était pas sur si les autres nous avais suivis, mais bon. J'entendis que le nécromentien fusse entré avant de refermer la porte. L'auberge était pleine de gens qui riaient et qui buvaient. * J'vais avoir du travaille plus tard. * Ne pusse m'empêcher de constater. Je fis un petit signe à mon patron, et dit à Effemir de me suivre. J'allai vers le fond de la pièce où un feu était allumer dans la cheminé de pierre. Plusieurs petites tables y étaient installer et la moitier étaient vide. Qui voudrait être à côté d'un feu à cette chaleur ambiante? Pourtant, personnellement, j'avais froid. Trop froid à mon goût. Mes dents s'entrechoquaient depuis un bon moment déjà et mes oreilles étaient plus que gelés. J'avais peine à les sentir! Je m'assis sur un siège près du feu fit signe à Effemir de s'assir sur l'autre.

- Ça fait du bien!
Soupirai-je.

-J'ai beau adoré la pluie, je préfère la chaleur.
Je souriai à Effemmir et lui fis un clin d'oeil. Je recouvrais peu à peu ma véritable personnalité. Ça faisait environ 1 heure que le Kraken était mort et la timidité que je ressentais envers les inconnus c'était dissiper depuis peu.

La magie de mon amulette commençait à s'épuiser et mes vêtemnts à détremper avec la pluie presque diluvienne qui avait empirée. Alia me laissa entrer et avant de la suivre, j'ôta mes bottes pour les vider de l'eau qui s'avait accumulé. Après ce petit geste, je m'assis sur la chaise que Alia m'as désigné.

J'étais étonné du clin d'oeil qu'elle m'envoya. Je la croyait plus réservée et gênée mais, apparament, je me suis trompé. Je lui répondu d'un mince sourire et j'approcha ma chaise du feu pour faire sécher mes vêtements.

Je m'étais de nouveau perdu dans la contemplation des flammes, me repassant ma journée au grand complet. La raconte d'Ariel d'on j'avais l'étrange impression qu'elle fesait partie de mon passé, pourtant je me savais possèder par une mémoire infallible. Alors pourquoi me rappellais-je de rien? Je passai après à l'arriver des deux hommes qu'Ariel avait appelé. J'avais discuter avec Effemmir de la nécromentie. Je tournai la tête vers se dernier. Je me rappelai, en le contemplant, que je l'avais trouvé beau, j'imagine que le fait qu'il est parler de sa profession m'a empêcher de lui poser des questions plus personnelle... Mais de toute manière les questions indiscrètes, très peu pour moi!

- Dite moi, Effemmir, ça ne vous a jamais venu à l'idée que vous voudriez faire autre chose que la nécromentie? Je n'avais même pas réfléchis à cette question! Mais qu'est-ce que je venais de dire là? Qui plus est, la construction de cette phrase restait à désirer. Pourtant, je ne pouvais faire marche arrière sans avoir l'aire d'une... idiote? Donc, alons y avec un peu de politesse.

-Si se n'est pas indistcrèt de ma part, biensur. Je souriai timidement à Effemmir espérant ne pas avoir eu l'air indiscrète. *Non, mais quelle imbécile, je fais!*

-Ce n'est pas indiscret, rassurez-vous.

Je sentais une sorte d'hésitation dans sa deuxième phrase, comme si elle n'avait pas fait exprès. Ce n'était pas grave, j'aimais parler de ma profession.

-Et bien, j'avais d'abords commencé à manier l'épée étant jeune mais, j'étais plutôt minable et mon physique n'était pas à l'épreuve. Mes parents sont tous deux mages donc ils ont voulues que je continue la lignée. Après quelques années de magie standard, j'ai découvert mon don de nécromancie comme je vous avais dit, alors, ce n'est pas de ma faute si je suis devenu nécromancien. C'est seulement dans mon sang et je m'en sers pour des bonnes causes. Pas comme certains qui l'apprenait seulement pour le mal...

Je toussa un peu et retourna ma tête vers le feu. Je ne savais plus quoi dire. Je ne voulais pas la brusquer en lui posant la même question étant donné qu'elle était serveuse dans cette auberge. Je restai donc muet, attendant une autre question.

- On doit reconnaître ça aux Hommes... J'avais murmurée, cette phrase étant plus pour moi que pour Effemmir. Avant que je puisse lui posé une nouvelle question qui, au moins, aurait été pensé et sensé l'aubergiste vint me tapoter l'épaule. Je tournai la tête vers se dernier et celui-ci se penchai, énormément, pour me parler à l'oreille.

- Alia, soupir, une femme demande à être soigné pourrais-tu... Je ne lui laissai pas le temps de finir sa phrase et me levai.

-Elle est où? Je ne murmurai pas à quoi bon? On avait besoin de mon aide et le ton de mon patron laisser présager rien de bon pour la femme. Il me prit par le bras et j'oubliai de m'excuser auprès d'Effemmir pour mon impolitesse.

L'aubergiste me conduisit dans la cuisine où était assis une femme trampée de la tête aux pieds maculée de sang. Je me dégageai de la poigne de fer de l'homme et allai d'un pas vif vers la femme. Même assise celle-ci était plus grande que moi. *Maudit tabouret! Toujours trop haut.*

-Madame? La femme releva la tête, c'était un jeune fille, pas tout à fait une femme, mais plus une enfant. Elle devait avoir entre 15 et 16 ans.

- Où avez-vous mal? Celle-ci relevai le bras, ou plutôt le moignon restant de son bras, j'en eu un haut le coeur et celui-ci se sera.

-Aidez moi... ce ne fut qu'un souffle et celui-ci me donnai le courage de prendre son bras blessé avec ma main gauche et avec ma main droite je recouvris la plaie béante, sans pour autant la touchée. Je fermai les yeux et me concentrai. Une douce chaleure se dégagea de mes paumes et pourtant je ne levai pas les paupières. Je connaissais le spéctacle, de la lumière bleuté s'échappait de mes paumes, cicatrisants le moignon. Je ne pouvais refaire pousser les membres perdus aucune magie ne le pouvait, à moins que le mebre soit dans le même pièce et qu'il soit en bon état. Je relevai les yeux et regardai la jeune fille. Celle-ci avait les larmes aux yeux semblait sur le point de tombé dans les pommes.

- Vaudrait mieux la mettre au sec, monsieur. Je m'était retourné ne sachant à quoi m'attendre, et si Effemmir était venu? En tout qu'à cela n'aurait pas du me faire peur, non? * Dieux que je suis compliquée, défois! *

Les lamentations d'une femme me sortit de mes pensées. Je me leva et marcha doucement vers la pièce où Alia était déjà en train de la soigner. Elle avait donc des pouvoirs. Pourquoi me le cacher? Je ne sais pas mais, la jeune fille était gravement blessée. Une main en moins à son âge est terrible. Ça me rappelait d'affreux souvenirs.

-Il...Il y as un moyen de faire repousser sa main. Avec une potion plutôt rare... Je le sait car j'en ait prit une après un accident malheureux...

Je regardai Effemir avec des grands yeux ronds. Un pouvait vraiment faire repousser une main? Les os, les tendons, les nerfs et tout et tout? Et bien, j'aurais tout entendus. J'avais beau être capable de réparer des membres brisés, éclatés ou coupés. Jamais je n'aurais penser que quelque chose pouvait faire "repousser" un membre. Je du faire un effort pour ne pas ouvrire la bouche de surprise. Je n'avais guère envie de gober des mouches.

- Vraiment? Je regardai par dessus mon épaule la jeune fille et la lueur d'intérêt qu'avais allumé les paroles d'Effemmir dans ses yeux et dans son âme en conséquent.

-L'as-tu sur toi?

HJ: Dsl que ça est pris autant de temps, j'ai pas pu me connecté depuis dimanche.

-Non... Mais je pourrait en faire une. Ce n'est pas qu'elle est difficile mais, les ingrédients sont rares et difficiles à trouver. Il m'en manque un seul en fait: Une écaille de dragon. Et c'est justement pour cela que j'ai dû prendre une telle potion après. Ma jambe gauche... s'était faite arraché par celui-ci en esseyant de lui prendre une écaille il y as 3 ans. *Tousse* Mais bon... Il me manquerait que cette écaille et je pourrait faire cette potion.

Elle pourrait se trouver au marché mais, surement à un prit exorbitant et ça m'étonnerait qu'un dragonnier me laisse prendre une écaille à son compagnon.

À, oh..... Je ne m'entendais pas à ça... Écaille de dragon? Non, mais ça doit être vendu à un prix exorbitant. Je regardai le jeune fille et une nouvelle fois celle-ci à dans les yeux une lueurs d'espoir, mais celle-ci estplus forte que tout à l'heure.

- Je... J'ai des écailles de drag...de dragons dans mon sac. Je.. je devais aller les porter à mon père. Mais... Mais vous pourriez... À! Je comprend, je la regarde et lui montre ma paume ouverte. Elle pointe son sac de son autre bras et je le prend et le lance à Effemmir. Le sac vola en l'air et j'espèrai qu'Effemmir soit un bon attrapeur, car moi j'étais une pauvre lanceuse.

Qu'elle chance. Je me demande bien où elle as bien plus trouver ces écailles pour finir sans main. J'évita la chute du sac en le faisant voler vers moi et je fouilla délicatement à l'intérieur. L'écaille était grosse comme ma paume. C'était bien plus que j'ai besoin. Je cassa un coin de l'écaille pour seulement avoir un fragment et remit le reste dans le sac de la jeune fille.
Je retourna au feu et approcha une table pour me faire un établit. Je déposa mon sac et sortit quelques bocaux et mon livre de potion. Ouvert à la bonne page, je commença à trier les ingrédients que j'avais besoin. Je sortie aussi de mon sac un petit chaudron qui semblait bien plus gros que ma besace. Encore un tour de magie bien pratique.
Le chaudron remplit d'eau et sur le feu, je hacha quelques herbes et mit le morceau d'écaille en poudre dans la mixture. Elle avait une couleur bleuté à cause de quelques fleurs.

-Voila. Il ne reste qu'à attendre qu'elle bouille et qu'elle tourne au jaune clair.

Je regardai Effemmir réussir le coup improbable, sans magie, d'attraper le sac. Il faut croire que la magie à plus qu'un petit plus. Lorsqu'il sortie l'écaille de Dragon la surprise me saisait brusquement. Dieu d'la terre que c'est énorme! Ceci devait fair au moins deux fois ma main et pourtant l'écaille était aussi grosse que la paume d'Effemmir. Dieu d'la terre que j'ai de petites mains. Je le regardai préparée la potion, je voulus en même temps m'occuppé d'la jeune fille, mais une cuisinière s'en chargeait déjà. Je m'approchai du magicien et regardai par-dessus son épaule se qu'il fesait. Lorsqu'il reparla, je fut surprise de l,entendre dire qu'il fallait entendre que se soit jaune. Comment une mixture pouvait-elle changer de couler si tout les ingrédient étaient mis? J'avais déjà fait quelque potions quand j'étais avec mes parents, mais jamais on m'avait dit qu'il était possible qu'elle change de couleur pour signifier qu'elle était prête... Pff... Je ne suis pas magicienne, donc je laissai tombé ses questions et me penchai en peu plus par-dessus l'épaule d'Effemmir pour humer l'odeur de la potion.

-Héhé. Je te conseille de ne pas trop sentir cette potion. Elle sent bonne mais, si tu reste au dessus trop longtemps, elle pourrait t'endormir. Cela sert à anastésier le patient car la repousse est assez douloureuse. Moi je n'avais pas cet ingrédient dans ma potion. J'ai souffert pendant 2 jours et 2 nuits. Mais bon. Tout va bien pour l'instant.

Je n'aimais pas trop parler de cet incident. J'en avais encore des cauchemards de ce dragon qui me blessa au plus haut point. De toute façon, je l'avais cherché. Aller voler une écaille directement sur le dos d'un dragon qui dort n'était pas la meilleure des idées.

Je le regardai dans les yeux, comprennant que parler de cet incident lui coutait d'une manière comme d'une autre. Je hochai la tête d'un signe affirmatif et m'éloignai du récipient et m'approchai de la jeune fille.

-Ce serait bientôt près, je lui souriai, as-tu mal?

-Non, non ça vas, je n'ai pas mal.

-Ok.

J'attendai donc que la potion soit terminer.

La mixture commençait à prendre forme. Elle bouillait et l'écaille se dissout pour laisser cette couleure jaune daans la potion à cause du souffre. Je la laissa encore quelques minutes pour s'assurer qu'elle se soit bien formée et je remplit un bol de la potion que j'apporta à Alia pour qu'elle la donne à la jeune femme.

-Merci, je souriai à Effemmir et me retournai vers la jeune fille. Celle-ci pris une inspiration et hocha vigoureusement la tête. Je m'approchai et pusique sans son bras elle ne pouvait tenir le bol correctement, je l'aidai à prendre la potion. Je ne savais pas si elle devait boire tout où si elle devait en prendre à chaque heure ou des trucs dans le genre. Je le demandai donc à effemmir.

Je lui expliqua qu'elle faudra qu'elle boive un bol de cette potion à chaque matin pendant au moins 5 jours même si son bras sera repoussé au 3em matin. C'était pour solidifer les os et s'assurer que les nerfs sentitifs était bien reconstitués. Quand elle bue le bol, elle s'endormit presque instantanément. Je fit signe à l'aubergiste de la monter dans une chambre pour qu'elle se repose. Je payerais la note pour elle. J'alla me rassoir près du feu pour me reposer.
J'était heureux d'avoir aidé une autre vie. Je pensais plus aux autres que moi même. Ce n'est pas grave, j'aime ça.

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